Press
Trio
Louis-Julien Nicolaou — Les Inrocks (juin 2015)
Leur musique, gracieuse comme un lointain envol, se déroule à la manière d’une large fresque tendue dans les airs d’un hémisphère à l’autre, entraînant l’auditeur à suivre attentivement ses plus infimes frémissements… Lire l’article
Pianiste Magazine (avril 2015)
Un trio qui s’autorise des recherches de climat dont on aurait peine à trouver l’équivalent parmi les formations semblables.
Cédric David — FIP Radio — album de la semaine (avril 2015)
Une musicalité et une sonorité rares qui vous pousse inéxorablement à réécouter ces douzes compositions originales… Lire l’article
Denis Desassis — Citizen Jazz (juin 2015)
Kapsa, Reininger et Fleau se lancent un défi comparable : dominer l’évanescence ou la futilité des choses du quotidien pour inventer un langage personnel, si possible compris du plus grand nombre, le plus longtemps possible. Ils y parviennent de très belle manière… Lire l’article
Jean-Marc Aguirre — Jazz-Rhônes-Alpes (septembre 2015)
Des compositions haletantes, une économie de notes au service de l’émotion, une cohésion percussive du trio… Lire l’article
Pierre Tenne — Djam (mai 2015)
Un album éclectique mais très clair, une écoute attentive et productrice d’espace de ces trois musiciens qui rendent facile l’art exigeant du trio…
Arnaud Roffignon — Revue des anciens élèves de l’ENA (mai 2015)
Ambiances oniriques, facéties rythmiques, ornementations raffinées, équilibre entre mélodie et improvisation, tout y est…
Emmanuel Viau - Concert au Musée Lalique le 9 août 2016
Soufflant eux-mêmes le chaud et le froid, modelant la forme et l’informe, ces verriers du jazz parviennent quelques fois au point de fusion avec un public chauffé à blanc…
Martin Guerpin — Jazz Magazine (mai 2011)
Point de rock, de pop ou de jazz ici, mais de la musique avant toute chose.
Pierre Bouteiller — TSF Jazz (mars 2011)
C’est beaucoup plus intéressant de juger les pianistes sur des tempi lents, car on peut faire «illusion» avec des traits à toute allure sur le clavier, mais on ne peut pas tricher sur la sonorité. Et là, c’est vraiment la sonorité, c’est vraiment du pianisme, c’est même plus que du pianisme, c’est de la musique. Avec Jean Kapsa c’est le son du piano, la sonorité, le toucher, et sans crainte de flirter avec la polytonalité.
Renaud Czarnes — Les Echos (mai 2011)
Voilà la révélation jazz de ce début d’année… Ces trois jeunes musiciens ont trouvé le point d’équilibre entre le rythme, la mélodie et l’improvisation… Un album sans faiblesse constitué de compositions originales remarquables.
Guy Degeorges — Un Soir ou Un Autre (avril 2010)
La musique est colorée, expressive et tendre, emportant loin dans l’émotion… Du jazz pour le troisième millénaire, qui, une fois la tradition assimilée, s’oublie et recommence, à neuf… Lire l’article
Philippe Vincent — Jazz Magazine (septembre 2010)
Un vrai son d’ensemble… Grande écoute réciproque et musicalité de tous les instants pour servir des mélodies aériennes soutenues par un swing plus léger que le vent.
Jean-Daniel Burkardt — Jazzology (mai 2011)
Cet album renouvelle le genre bien éprouvé déjà du trio piano-basse-batterie à la fois par la modernité de son traitement rythmique et mélodique de l’improvisation collective, inouï depuis EST, et en créant un nouveau répertoire de compositions originales et fortes, deux choses dont le Jazz a besoin pour continuer d’être vivant !
Denis Desassis — Citizen Jazz (juillet 2011)
Il n’est pas si courant que la première écoute d’un disque suscite une telle attraction… Le début d’un chemin que l’on souhaite le plus long possible… Lire l’article
Romain Grosman — Jazz News (mai 2011)
Parmi les trios qui souvent se regardent, s’écoutent surtout, celui-ci se distingue par son audace.
Vlad — Fnac Montparnasse (avril 2011)
Ils sont tous les trois allumés par les musiques qui fusent autour d’eux et déclenchent des envies de jouer irrépressibles…
Brad Mehldau (juin 2011)
Sounds really cool. Nice compositions, nice trio playing. Congratulations on your music.
Festen
Chroniques de Denis Desassis (Citizen Jazz) sur les quatre albums :
Inside Stanley Kubrick (septembre 2018)
Mad System (avril 2016)
Family Tree (avril 2013)
Festen (décembre 2010)
Louis-Julien Nicolaou, Télérama (déc. 2018)
Ce quartet frondeur dont on observe la progression depuis quelques années pratique un cinematic jazz qui n’hésite pas à bousculer les chapelles et statues sans, curieusement, faire preuve du moindre irrespect.
Katia Touré, Jazz Mag (juin 2016)
Un opus d’une subtilité traumatique.
Florent Servia, Jazz News (mai 2016)
La dramaturgie captivante de Festen fait effet dès les premières notes.
Louis-Julien Nicolaou, Les Inrocks (avril 2016)
Par son âpreté post punk, par son jazz dépouillé de tout clinquant et comme réduit à l’os, la musique du quatuor renvoie en partie au cinéma brutalement réaliste de Thomas Vinterberg. Lire l’article
Denis Dessassis, Citizen Jazz (avril 2016)
Festen entre au cœur de sa musique dans une longue inspiration, prend la mesure du combat à mener, avant d’ajuster ses coups avec précision.
Franck Bergerot, Jazz Magazine
Une identité collective acquise par le sens du détail, assumant sans clichés ni chiqué l’énergie du rock et l’esthétique de la boucle, mais sans s’interdire le lâcher prise improvisé… Un palpitant petit roman musical qu’on « lit » d’une traite.
Denis Desassis, Citizen Jazz (décembre 2010)
Festen sait ne pas abuser de la liberté que peut suggérer le jazz pour conserver au son d’ensemble la densité rock qu’il recherche… et trouve à travers des compositions compactes. Ces quatre-là brandissent le concept de groupe en ce qu’il peut avoir d’impersonnel pour les musiciens qui le composent parce qu’ils sont au service d’un projet collectif, mais aussi par la puissance qu’il permet.
Jean Marc Aguirre, Jazz&Rock @ Communay
Ils viennent de sortir un disque qui tourne en boucle depuis quelques jours dans ma voiture et sur mon ordi… Ouais c’est bon.
Paris on the Move
Rien à dire, c’est du jazz moderne qui ne cherche pas à utiliser de grosses ficelles de fortes influences, c’est du spontané et bien torché, passablement habité quand il le faut, mais toujours avec cette retenue très classe qui sied si bien aux mecs qui se dessinent leur propre univers sonore.
Jean-Marc Gelin, les DNJ
Avec des oreilles qui ont dû pas mal trainer du côté d’un rock marqué 90’s, ces jeunes là semblent obsédés par l’idée de poser le groove et la pulse, avec comme sous jacent que la musique de toutes façons, suivra derrière.
Denis Desassis, Maître Chronique
Leur premier album éponyme, récemment publié, témoigne d’une belle maturité et attire l’attention par un vrai soin porté tant à l’écriture de mélodies qui accrochent très vite l’oreille qu’à la mise en oeuvre d’un projet intrinsèquement collectif.
Philippe Desmond, Action Jazz
Du hard jazz qui malgré les secousses brutales vous embarque sans hésitation.